Le Maroc et le Royaume-Uni sont en train de construire des partenariats florissants, notamment dans le commerce, la finance verte et l'éducation, a affirmé le ministre d'Etat britannique aux Affaires étrangères pour l'Asie du Sud et du Centre, l'Afrique du Nord, l'ONU et le Commonwealth, Lord Tariq Ahmad. « Nos Royaumes travaillent ensemble pour offrir une vision partagée d'économies qui sont innovantes et axées sur la construction d'un avenir durable, résilient aux défis mondiaux auxquels nous sommes tous confrontés », a indiqué Lord Ahmad, dans un communiqué publié, jeudi, à l'issue de sa visite au Maroc du 25 au 27 juillet. Le responsable britannique a salué « le leadership de SM le Roi Mohammed VI et la vision de réforme exposée dans le Nouveau Modèle de Développement du Maroc, ainsi que les efforts marocains pour soutenir la croissance, la stabilité et l'adaptation au changement climatique en Afrique ». « Je suis impatient de renforcer nos liens économiques, notamment entre nos centres financiers de la City de Londres et de Casablanca, de voir le retour continu des touristes britanniques au Maroc et d'accueillir à Londres, plus tard ce mois-ci, le premier sous-comité de l'accord d'association entre le Royaume-Uni et le Maroc consacré au commerce », a-t-il ajouté. Au cours de sa visite au Maroc, Lord Ahmad a rencontré notamment le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, le ministre de l'industrie et du commerce, Ryad Mezzour, le ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l'innovation, Abdellatif Miraoui, et la ministre de la transition énergétique et du développement durable, Leila Benali, ainsi que le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami. Selon le communiqué, les discussions ont porté sur l'approfondissement de la collaboration entre le Royaume-Uni et le Maroc dans les domaines du commerce, de l'éducation, du climat, de l'énergie propre et de la croissance verte, ainsi que sur des questions régionales et internationales d'intérêt commun, notamment la situation en Libye, et les implications mondiales de la guerre en Ukraine sur la sécurité alimentaire et énergétique. Lord Tariq Ahmad a également eu des entretiens avec des régulateurs financiers, des banquiers et des investisseurs, pour célébrer la coopération croissante entre le Royaume-Uni et le Maroc et mobiliser des fonds privés pour soutenir une transition à faible émission de carbone, ajoute la même source, notant qu'il a également rencontré des entreprises britanniques clés, avant la première réunion du sous-comité maroco-britannique consacré au commerce, ainsi que des représentants de l'université britannique de Coventry, qui commencera bientôt à dispenser des cours accrédités par le Royaume-Uni en études commerciales et en ingénierie à Bouskoura. Le ministre a profité de cette visite pour rencontrer le secrétaire général de la Rabita Mohammadia des Oulémas, Ahmed Abbadi et des chercheurs de la Rabita pour ''mieux comprendre les efforts interconfessionnels et les libertés religieuses''.Le Maroc et le Royaume-Uni sont en train de construire des partenariats florissants, notamment dans le commerce, la finance verte et l'éducation, a affirmé le ministre d'Etat britannique aux Affaires étrangères pour l'Asie du Sud et du Centre, l'Afrique du Nord, l'ONU et le Commonwealth, Lord Tariq Ahmad. « Nos Royaumes travaillent ensemble pour offrir une vision partagée d'économies qui sont innovantes et axées sur la construction d'un avenir durable, résilient aux défis mondiaux auxquels nous sommes tous confrontés », a indiqué Lord Ahmad, dans un communiqué publié, jeudi, à l'issue de sa visite au Maroc du 25 au 27 juillet. Le responsable britannique a salué « le leadership de SM le Roi Mohammed VI et la vision de réforme exposée dans le Nouveau Modèle de Développement du Maroc, ainsi que les efforts marocains pour soutenir la croissance, la stabilité et l'adaptation au changement climatique en Afrique ». « Je suis impatient de renforcer nos liens économiques, notamment entre nos centres financiers de la City de Londres et de Casablanca, de voir le retour continu des touristes britanniques au Maroc et d'accueillir à Londres, plus tard ce mois-ci, le premier sous-comité de l'accord d'association entre le Royaume-Uni et le Maroc consacré au commerce », a-t-il ajouté. Au cours de sa visite au Maroc, Lord Ahmad a rencontré notamment le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, le ministre de l'industrie et du commerce, Ryad Mezzour, le ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l'innovation, Abdellatif Miraoui, et la ministre de la transition énergétique et du développement durable, Leila Benali, ainsi que le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami. Selon le communiqué, les discussions ont porté sur l'approfondissement de la collaboration entre le Royaume-Uni et le Maroc dans les domaines du commerce, de l'éducation, du climat, de l'énergie propre et de la croissance verte, ainsi que sur des questions régionales et internationales d'intérêt commun, notamment la situation en Libye, et les implications mondiales de la guerre en Ukraine sur la sécurité alimentaire et énergétique. Lord Tariq Ahmad a également eu des entretiens avec des régulateurs financiers, des banquiers et des investisseurs, pour célébrer la coopération croissante entre le Royaume-Uni et le Maroc et mobiliser des fonds privés pour soutenir une transition à faible émission de carbone, ajoute la même source, notant qu'il a également rencontré des entreprises britanniques clés, avant la première réunion du sous-comité maroco-britannique consacré au commerce, ainsi que des représentants de l'université britannique de Coventry, qui commencera bientôt à dispenser des cours accrédités par le Royaume-Uni en études commerciales et en ingénierie à Bouskoura. Le ministre a profité de cette visite pour rencontrer le secrétaire général de la Rabita Mohammadia des Oulémas, Ahmed Abbadi et des chercheurs de la Rabita pour ''mieux comprendre les efforts interconfessionnels et les libertés religieuses''.