La bimbo française a été libérée ce jeudi après-midi, après cinq semaines passées à la maison d'arrêt de Versailles. Placée sous contrôle judiciaire en attendant un éventuel procès, elle est toujours poursuivie pour tentative de meurtre à l'encontre de son compagnon, Thomas Vergara. L'ex-starlette de téléréalité a quitté la maison d'arrêt de Versailles cette après-midi. Et les messages de soutien se multiplient sur les réseaux sociaux. Un soulagement pour ses avocats et sa famille, qui estimaient la sanction envers la jeune femme injuste. Et nombreux sont ceux qui la disaient capable de se suicider dans sa cellule. Une nouvelle qui ravit la principale intéressée, qui ne va pas rester silencieuse très longtemps. Nabilla Benattia se dit extrêmement heureuse et souhaite à présent se reposer auprès de sa famille. Mais comment retrouver une vie normale quand on est la superstar du moment ? En attendant un éventuel procès, la bimbo a été placée sous contrôle judicaire à la demande de ses deux avocats. Pendant cette période de repentance, l'ex-star des «Anges de la téléréalité» a pour interdiction d'évoquer l'affaire dans les médias. Mais le plus dur pour elle, sera de ne pas recontacter Thomas Vergara, son petit-ami et victime de sa folie passagère. La nuit où tout a basculé... Malgré les rumeurs persistantes qui l'a disent battue par son compagnon, Nabilla Bennatia fait tout pour retrouver «son âme-sœur», quitte à changer sa version des faits. Sa libération intervient deux jours après sa confrontation chez le juge avec Thomas Vergara. Après avoir déclaré être une femme battue, l'ex-chroniqueuse de TPMP a maintenu sa dernière version : Thomas se serait blessé tout seul après une violente dispute de couple. Quant au jeune homme, il a réaffirmé que Nabilla lui aurait porté un coup de couteau dans la confusion alors qu'il tentait de la maitriser. Deux versions qui s'affrontent et qui ne rendent pas service à la bimbo, puisqu'elle est toujours soupçonnée d'avoir poignardé son compagnon au thorax, dans une chambre d'un appart-hôtel en banlieue parisienne, dans la nuit du 6 au 7 novembre dernier. Le 9, elle était écrouée et placée dans une cellule individuelle isolée.