Paradoxe chez les Verts qui font démentir toutes les philosophies du monde qui font dire aux meilleurs docteurs psychologues que l'argent, la motivation financière, les primes doubles ont leur impact sur le moral des joueurs et du staff technique. Le Raja qui fait donc l'exception, on garde cette philosophie et comme dit l'autre : ‘'Il ne faut pas généraliser‘'. Des grèves doublées de crise financière, terre fertile chez quelques gazettes qui titrent à huit colonnes ce genre de ‘'scoop‘' déjà vécus lors des années 80 ! La solidité du groupe Raja reste compacte et c'est le plus important dans cette histoire où les milliards de dettes se dissipent devant un arrêt à Zniti ou ce diable de Hafidi ‘'masqué‘' qui, en clair, envoi le Chabab Atlas Khénifra revoir son mur défensif (but à la 87ème minute). Un esprit ‘'Allemand‘' à qui on peut ajouter cette touche d'hommes combatifs qui s'en foutent de ce qui se passe au niveau de la gestion. Hommes de terrains, dévoués à une cause. Ils sont là et tant mieux si demain ou après un... mois, les virements passent. Des passes justement. Contre le CAK (1/0) et, auparavant, le Chabab Kasba Tadla (3/0) et KAC (2/0). Vous remarquez que les hommes de Fakhir n'ont pas encaissé le moindre but dans un contexte où ils n'ont pas encaissé...un seul dirham ! Une longue passe qui en dit long sur le message transmis par Erraki and Co prêts à récidiver dimanche prochain à Tanger. Aucune dette envers les joueurs (bravo et bien plus, professionnels dans leur esprit). Le ballon est dans le plein des dirigeants rajaouis (nouveaux) qui en collaboration avec ceux d'hier et team des adhérents (réunis hier dimanche en soirée à Casablanca), l'ensemble et c'est le vœu du large public rajaoui : « Arrêter l'échec de la gestion ».