*Des bris de glaces. C'était sur toute la chaussée menant à l'entrée officielle du complexe sportif Mohammed V. De la casse avant terme, ça fait moche, ça inquiète et finalement, ça énerve. *Rachid Taoussi absent pour les besoins de la conférence de presse, le Raja comme le représentant de la FRMF ont noté ce non respect à la charte médiatique comme aux confrères. *Un Tiffo, la Magana innove. Il est dorénavant en mode « vague », olé et ça fait des mouvements qui vont vibrer plus d'un. *S'opposer au Chaghab et ce maudit fléau de la drogue, l'association « Galata Verde » a hissé fort ses cris d'appel. Les banderoles étaient en langue Arabe, Amazigh et Français. *Des Rajaouis fidèles que nous rencontrons à chaque dimanche (presque 30 ans). On cite la famille Rahmoune et fils, on a Papa Bouchaib, le petit Amine et Youssef fraîchement diplômé (Licence en droit). *Des incidents, plus jamais ça. Ainsi pour ces querelles intero-interne qui donne au virage Magana des images floues, incolores et périmées. *De l'animation. Voilà un bon point, on le mettra à l'actif de Salhi « l'homme des défis » qui tira un bus et céda son thorax à 2 motards qui passèrent comme on roule sur une autoroute. *Chtibi et Mitouali qui ratent. Instantanément, ils demandent pardon auprès du public. *Des messages. Voilà un autre aspect de ce que vit l'espace Magana. Des messages, ils sont significatifs et fortement rédigés en langue de Molière. Néanmoins, pour les lire, parfois, on y trouve des difficultés (moins de temps et moins de visibilité). *Anouar. Un Messi chez l'ASFAR, le Fassi occupa un poste de médian et ça lui va. *Safri, Haddaoui, Bassir, Wahbi (ex candidat à la présidence), famille Hamidine, Lafif, Boudrika (absent), Dahnane...on appelle ça, la continuité aux couleurs vertes : fidélité et attachements !