Après des complications au niveau du bas du pied, qui l'ont contraint d'abandonner lors du « Futures » du TC Fassi et de faire l'impasse sur celui du STC Oujda, ce fut au tour d'une entorse au niveau de la cheville, qui a, désormais, poussé le « Cheminot » Yassine Id M'barek, à observer un repos d'une vingtaine de jours. Alors il a troqué deux béquilles à la place de ses raquettes. Bon rétablissement Yassine et un retour rapide à ton sport favori. L'USM/TCC vit à l'heure de son tournoi annuel qui est arrivé aux phases finales qui sont prévues pour samedi prochain (22 décembre). Mais le clou de cette édition reste l'hommage qui sera rendu, ce vendredi, à l'un des légendes du tennis national et de l'USM/TCC, Mohamed Dlimi. Au menu un « match-exhibition » de doubles avec ses ex-compères Mustapha Dislam, Houcine Saber et Arafa Chakrouni. Et le soir, une soirée « Mesnawa » qui sera précédée par des dédicaces des livres de Hassan Habibi (vie d'un théâtre de Tayeb Saddiki). Nous y reviendrons sur cet événement sportif et culturel. Ils ne sont plus que deux clubs qui postulent pour le Grand Prix de SAR la Princesse Lalla Meryem. Il s'agit du RTC Fès et du RTC Marrakech. Ce dernier qui part normalement avec la faveur des pronostics. Mais attendons le verdict final où il n'y aurait point de surprises. Pour les autres « Futures et challengers », on peut dire qu'il n'y a pas bousculade au portillon de la commission des compétitions internationales. Il y a même des clubs qui l'ont déclaré ouvertement à l'instar du Stade Marocain, du COC... Le Comité du COC qui, lors de la récente « AGO », a fait savoir à ses membres qu'il n'a pas manifesté d'intérêt pour l'organisation d'un « challenger 2013» dans la mesure où le coût s'élève à 140.000,00 dh sans pouvoir bénéficier du sponsoring qui relève du domaine de la fédération, en plus de l'absence totale des représentants de la FRMT aussi bien lors de la semaine du tournoi que pendant la remise des prix. S'il y a une compétition qui est la mieux prisée pour le moment, c'est bien les phases finales du « National des jeunes ». Plusieurs clubs font la queue pour accueillir notre relève. Mais les plus potentiels, pour le moment, restent le Club de Tir de Tanger (CTT) et celui du STC Oujda. C'est ce mercredi 19 décembre à 19 h 00, que se tiendra l'assemblée générale ordinaire du Stade Marocain. A l'ordre du jour, la lecture des traditionnels rapports (moral et financier) et les questions diverses. Quant aux élections, c'est à l'assemblée d'en décider. En parlant d'assemblée, qu'attend-on pour envoyer aux clubs ces fameux nouveaux statuts et tenir l'assemblée générale extraordinaire de la FRMT pour les approuver ou les rejeter. On avait bien avancé la date du 15 décembre à Marrakech. Mais depuis c'est le silence total ! On avait, même, réservé la salle de la municipalité pour l'annuler après. Donc, à l'année prochaine, In Chaâ Allah ! Toutes nos félicitations à la famille Outaleb (le père Larbi et les enfants Khalid et Alia), qui a ouvert, samedi, son « luxueux restaurant » au quartier Maârif. Une inauguration en grandes pompes en présence d'un parterre d'invités dont seulement trois membres fédéraux (Laâraf, qui ne rate aucune occasion, El Mostafa Faïz et El Mostafa Sahabi). Samedi, on a joué les demi-finales des championnats du Maroc par équipes des jeunes. Chez les « 15/18 ans », c'est l'équipe « A » de la cité de l'air qui est passée en finale en s'offrant les services de sa consoeur « B » sur le score sans appel de 9/0. Un scénario qui était connu d'avance. La seconde demi-finale devait se jouer, hier, dimanche entre le COC et l'US Cheminots sur les courts neutres du RTC Mohammédia. Chez le « 11/12 ans », saluons la qualification pour la finale de l'OCC/Marsa qui a créé la sensation en battant par 6/5, la coriace formation du RUC. Les poulains de Mohamed Benamar devait disputer, hier à l'ASAS, la finale contre l'équipe de la cité de l'air qui a disposé du RTC Marrakech par 8/3. Les jeunes de la ville ocre qui ne donnaient pas l'impression d'avoir bien récupéré de leur périlleux déplacement jusqu'à Aïn Sebaâ.