Le Taraji qui barre la route de Tokyo au Wydad. Ces mêmes tunisiens qui barrent la route à Zaki (rappelez-vous la CAN 2004 et Berlin 2006). Aussi chez les locaux alors qu'on croyait que les Haddaoui, Skouma, Mitouali avaient fait le gros du travail en direction de la CHAN (Khartoum 2009). Basta, assez, ça doit avoir une fin. Dimanche en soirée, donc, on verra comment Rachid Taoussi et ses hommes vont se révolter pour imposer aux voisins Tunisiens le partage de la … poire. Une poire africaine qui n'est pas forcément tunisienne à 100 %. Un Club Africain, on a du respect pour les invités clubistes sachant qu'avec un avantage d'un but d'écart. Il y aura à Fès du …cinéma. Oui, ce cinéma dont les héritiers à Atouga excellent et donc que les Halhoul, Ba Maâmer et Bourazouk doivent éviter pour ne se concentrer que sur leur football plein, efficace, plaisant et moderne appris à la route de Sefrou. Une ville derrière son MAS, un Moghreb de Fès ambassadeur du football Marocain, public créatif et dévoué à une cause, président Marouane Bennani sur les traces des Benzakour et autre Mernissi, comité bosseurs et sponsors où nous saluons le jeune Jamaï Smaïl de l'annonceur « ANASSI ». Du beau monde donc mobilisés pour le jour « J ». Le vœu se fait pressant et en …masse. Pas d'alternative, faire goûter aux rouge et blanc tunisiens la vraie couleur de Lahrissa marocaine. Elle est jaune et noir, ça pique comme une guêpe et ça donne parallèlement force et férocité d'un Fatal Tiger qui, lui, ne fait pas dans le …cinéma.