· Après l'étape de Salé, l'Uariachi Hoop Camp, a mis le cap sur la métropole économique pour un stage au profit des jeunes casablancais, et ce, à la salle du CMC. Ce programme est conduit par des entraîneurs de basket-ball, américains et m arocains, ainsi que par des membres de la société civile locale, du 29 au 31 janvier. Pendant trois jours, les participants ont manié le ballon avec à la base des techniques nouvelles. A la clôture du stage, les participants ont eu droit à des prix. Le prochain camp est prévu du 12 au 14 mars à Al Hoceima. L'Uariachi Hoop Camp avec le concours du service culturel des Etats-Unis d'Amérique, est entrain d'apporter une nouvelle philosophie dans la conception de la grosse balle orange auprès des jeunes. · Après plusieurs saisons sous les couleurs du MAS, avec qui il a remporté un titre de champion du Maroc et une Coupe du Trône, Alpha Traoré met le cap sur la capitale administrative pour défendre les couleurs du FUS. Un renfort de taille pour Driss Houari. · Après une longue absence, Amine Barzi fait à nouveau son apparition sur l'aire du jeu, non pas avec les couleurs de l'IRT, mais avec celles de l'ASE, à titre de prêt, un club où il a fait ses premiers de pas de basketteur. · La gronde d'une journée à l'autre monte d'un cran auprès des clubs. Jeudi à l'occasion de la signature du programme-Projet, entre le ministère de la Jeunesse et des Sports et la FRMBB, l'arbitrage a été évoqué, même M. Moncef Belkhayat, ministre de la J.S, a mis son grain de sel. Tout le monde ou presque est mécontent. Que c'est agaçant d'avoir la sensation que son équipe est victime d'une injustice. Comme les algériens après la défaite contre l'Egypte qui avaient crié au complot. Mais le sport n'est pas la guerre. Qui peut dire aujourd'hui que demain son équipe ne va pas profiter d'une erreur d'arbitrage ! Mais n'empêche que la commission des arbitres ne doit pas oublier que l'ambiance de la rencontre dépend souvent des arbitres. C'est la différence entre un arbitre tout court et un bon arbitre. · La défaite pour le compte de 5ème journée (aller) du WAC face à son voisin du CMC, sur le score de 70-68, a surpris plus d'un observateur de la balle au panier. Mais les plus avertis, la défaite est la rançon de la montée de la moutarde au nez de certains joueurs wydadis. · Une défaite ça fait toujours mal, mais pour le Président du WAC, M. Yacine Ben jelloun : «Il faut prendre la défaite du bon côté, c'est vrai une défaite n'est jamais bonne à prendre, mais à mi-chemin, elle te permet de corriger ton tir vers le panier à temps ». · En attendant l'ouverture de la nouvelle salle d'Essaouira pour accueillir les rencontres de l'équipe des garçons, les amateurs de la balle au panier à la cité des Alizés trouvent leur bonheur avec l'équipe féminine de l'ASE qui domine sa poule avec un sans faute. Pour se placer comme candidate à la succession de l'équipe féminine de l'IRT, tenante du titre. · Par le biais de la FRMBB, la Sté Kymco, nouveau sponsor de la fédé, offre aux équipes de la troisième division des jeux de maillots et des ballons. Aussi à la fin de la saison le meilleur réalisateur du championnat va recevoir en récompense : un scooteur. · Une formation qui ne se complète pas se perd. C'est le moins que l'on puisse dire pour l'ex. coach national et du MAS, Aït Ou Ali qui vient de passer deux semaines dans les clubs du Real de Madrid et Badalona, afin de peaufiner ses connaissances techniques. A Signaler qu'Aït Ou Ali risque de se voir confier prochainement l'école de formation du MAS. · Aït Ou Ali il n'est pas le seul à vouloir se former. Puisque M. Mohamed Ali Znaydi, secrétaire général de la FRMBB, a pris part à un stage de formation pour l'obtention d'un certificat dans la technique sportive, un stage coiffé par l'IRFC et l'A.I des sciences techniques de Lausanne. A signaler que M.Znaydi a obtenu la meilleure note pour son projet. Un projet qui sera soumis à M. Moncef Belkhayat, ministre de la Jeunesse et des Sports. · Après un arrêt de trois ans, la caravane de basket-ball va reprendre à nouveau son bâton de pèlerin pour sillonner les différentes ligues du Royaume. Pour la nouvelle édition, les organisateurs sont entrain d'étudier une nouvelle formule pour la rendre plus attrayante. ·Le statut du joueur fera prochainement l'objet d'un débat de la part des responsables de la fédé et ceux des clubs, pour dégager toute ambigüité lors du transfert d'un joueur d'un club vers un autre. Manière aussi pour défendre les intérêts des uns et des autres. · A quoi bon qu'on fasse appel lors des rencontres aux agents secouristes, s'ils restent inactifs lorsqu'un joueur est touché sur l'aire du jeu ? C'est le moins que l'on puisse dire après la blessure du joueur du FUS, Boukhar, puisque ce sont ses coéquipiers qui se sont chargés de son évacuation, au moment où les secouristes sont restés de marbre, pour ne pas dire en spectateurs. · A Tanger, le FUS était à un point pour conquérir la première manche des quarts de finale de la Coupe du Trône face à l'IRT, si ce n'est d'un côté l'arbitrage qui a fermé l'œil sur des irrégularités, aussi par la double perte de balle en fin de partie par le joueur Louissifi. Mettant tout ça d'un côté, l'erreur est humaine, et de l'autre sur une erreur de jeunesse. · Si l'arbitrage continue à balbutier, c'est en partie par l'absence d'un vrai patron à la tête de la commission des arbitres. Bien sûr, le tableau n'est pas complètement noir, mais au rythme ou déferlent les réclamations des uns et des autres, des responsables à la fédé doivent prendre les choses bien au sérieux, surtout que l'édition 2009-2010 à partir du mois de février va entamer sa première ligne droite. Un homme averti en vaut deux. · Dans les années 40, le basket-ball comptait au Maroc 80 clubs et plus 3000 licenciés. Rien qu'à la métropole économique il y avait pas moins de 13 clubs, l'USM avec les Savéry, Martinez le RUC avec les Costalat, Devrone, l'ASPTT avec Jean Charrier, Rizzo, la BUS avec les Lacomare Grange, l'ASCN, avec les Campbell, Oikinie, le MAS avec Di Loronzo, Luquet, l'Alliance premier club Marocain a avoir pris part à une Coupe Européenne, avec les Ben Jamâa Abdelhafid, Sebbar Abderrahmane, les Frères Achour, le FAC avec Belaid Ladjaj, Lagrange, Moussard, le WAC avec les Berrada, Kazi, Guessous, le CAP, l'USA avec les Burgos, Contreras, David , l'ASAS, le CSC avec les Farouk Diouri, Lahbabi, le CSE avec les Blal, Giner, Lucien et le COC. Aujourd'hui la ville de Casablanca ne compte plus que le WAC, le CMC, le Raja, le S.Plazza, le TSC et la MEC. · La Fédération Royale Marocaine de Basket-ball vient de signer avec le Sté «Mob Chop» un contrat de sponsoring, qui va englober uniquement les équipes de la troisième division. · Dans le contrat-programme signé entre le ministère de tutelle et la FRMBB, comprend entre autres, l'augmentation du nombre des clubs de 87 à 170, le nombre des licenciés de 10 milles aà18 milles, la formation chaque année de 200 cadres . Et dire que dans les années 50, le basket-ball national comptait déjà 80 clubs. · Si les équipes du FUS et du CODM (dames) après leur victoire en quarts de finale (aller) de la Coupe du Trône, respectivement face au WAC (70-37) et le TSC (52-67) ont le droit de penser déjà aux demi-finales, pour les équipes de l'ASE et l'IRT (67-53), et CET-ASS (65-52), il faut attendre la seconde manche pour voir qui va se joindre au dernier carré.