Predator Oil & Gas Holdings PLC a annoncé, jeudi, qu'un rapport technique indépendant de SRL Consulting prévoit des ressources contingentes importantes de gaz nettes pour la société, de 295 milliards de pieds cubes standard de gaz, ainsi qu'une valeur actuelle nette attendue non risquée de 592 millions de dollars. Détails Selon le site américain d'information financière, filiale du groupe Dow Jones and Company et donc de News Corp, marketwatch, la société britannique côté en bourse Predator Oil & Gas a publié les résultats du rapport de SLR Consulting qui a réévalué les installations onshore de Predator à Guercif. Les estimations brutes pour le projet d'évaluation du puits MOU-1, basée sur une extraction de gaz prudente de 66% sur 13 ans, est de 393 milliards de pieds cubes (BCF), dont 295 attribuables à la participation de 75% de Predator.
Par ailleurs, la valeur actuelle nette attendue de l'exploitation est estimée à 148 millions de dollars, basée sur 25% des 295 BCF attribués à Predator, alors que SLR préconise le développement d'un projet de commercialisation de gaz naturel comprimé. Le coût d'investissement net serait de seulement 12,21 millions de dollars, avec plus de flexibilité de production, «adaptable à la nature dispersée du marché marocain du gaz industriel, aux besoins des camions mobiles et des clients individuels».
Des essais sont maintenant prévus au deuxième trimestre de l'année en cours, «après l'assouplissement prévu des restrictions de voyage au Maroc». Concernant le puits, MOU-4, situé 8 km à l'est de MOU-1 et situé sur la même structure, les préparatifs de pré-forage «progressent comme prévu», l'objectif immédiat, indique Predator, étant de développer son projet d'évaluation.
«Nous sommes heureux d'annoncer la continuité des structures MOU-1 et MOU-4, qui a établi des ressources de gaz contingentes importantes, et une valeur actuelle nette attendue sans risque de 592 millions de dollars», a déclaré Paul Griffiths, PDG de Predator Oil & Gas Holdings Plc. «Afin de créer une plus grande substance financière, un renversement dans une entité voulant s'exposer à l'opportunité de Guercif ne doit pas être écarté comme une option future», ajoute-t-il.
La zone d'Anchois, ajoute la société, est une extension terrestre orientale du bassin de Rharb, constituant «une unité géologique continue qui s'étend sur plus de 250 km et qui commence à générer des découvertes de gaz substantielles, bien plus importantes que toutes celles rencontrées à ce jour dans le bassin de Rharb». La province gazière à Guercif, peut-on lire, est riche de sa proximité avec le gazoduc relié à l'Europe et de son bon positionnement pour servir le marché national du gaz.