Deux jours après la présidentielle du 19 décembre 2010 en Biélorussie, les autorités ont pris des mesures très sévères. Plus de 600 opposants ont été emprisonnés et risquent des peines allant jusqu'à 15 ans de prison. Le gouvernement d'Alexandre Loukachenko a même menacé d'interdire certains partis politiques. Après 16 ans de présidence, Loukachenko sévira quatre années supplémentaires.