Mieux vaut en rire que d'en pleurer! Et pas qu'une seule fois mais plusieurs, à s'en éclater la rate, en sus d'un ballon du Zamalek! Du côté du Nil, l'on ose accuser Walid Azarou d'utiliser la sorcellerie, la magie noire et le charlatanisme afin de perforer les filets des gardiens de but égyptiens et continentaux. Et puis, quoi encore? Le plus étonnant, hallucinant, c'est que l'accusateur n'est autre que Mortada Mansour, président du club Zamalek, rival éternel d'Al Ahly où évolue l'attaquant marocain, désormais faisant partie des Lions de l'Atlas après sa convocation par le coach national, justement... « le sorcier blanc », Hervé Renard, pour participer aux deux prochains matchs amicaux de notre équipe nationale. « Regardez comment le gardien tombe et reste incapable de faire un geste, permettant ainsi à Azarou de marquer! Cela est arrivé lors de la rencontre contre le Zamalek et contre Al Masry pour le compte de la Supercoupe », a osé affabuler Mortada Mansour, « bla hachma oula hya » (en darija du cru: sans honte, ni pudeur), lors d'une émission de la chaîne émiratie Dubai TV. Voilà pour l'explication à dormir debout de deux buts « maléfiques » inscrits par Walid Azarou. Mais le président de Zamalek ne pipe mot sur les quinze autres, donc dix-sept au total pour le nouveau Lion de l'Atlas, meilleur buteur du championnat égyptien, et ne dit pas qu'ils sont aussi dus à la magie noire, au « sihr » supposé du Souss, région dont est originaire le « sorcier-buteur ». A rappeler que Walid Azarou, sur le pied magique de qui les Marocains comptent en Russie pour marquer des buts contre l'Iran, l'Espagne et le Portugal, est un transfuge du Difaa Al Hassani Jadidi ( DHJ). Du club doukkali, il a été transféré à Al Ahly d'Egypte pour un contrat de quatre ans en contrepartie du montant « pharaonique » d'un milliard de centimes. » « Ikhtichi, ya wad, ya Mansour! Ya bta3 Zamalek! » Le plus étonnant, hallucinant, c'est que l'accusateur n'est autre que Mortada Mansour, président du club Zamalek, rival éternel d'Al Ahly où évolue l'attaquant marocain, désormais faisant partie des Lions de l'Atlas après sa convocation par le coach national, justement... « le sorcier blanc », Hervé Renard, pour participer aux deux prochains matchs amicaux de notre équipe nationale. « Regardez comment le gardien tombe et reste incapable de faire un geste, permettant ainsi à Azarou de marquer! Cela est arrivé lors de la rencontre contre le Zamalek et contre Al Masry pour le compte de la Supercoupe », a osé affabuler Mortada Mansour, « bla hachma oula hya » (en darija du cru: sans honte, ni pudeur), lors d'une émission de la chaîne émiratie Dubai TV. Voilà pour l'explication à dormir debout de deux buts « maléfiques » inscrits par Walid Azarou. Mais le président de Zamalek ne pipe mot sur les quinze autres, donc dix-sept au total pour le nouveau Lion de l'Atlas, meilleur buteur du championnat égyptien, et ne dit pas qu'ils sont aussi dus à la magie noire, au « sihr » supposé du Souss, région dont est originaire le « sorcier-buteur ». A rappeler que Walid Azarou, sur le pied magique de qui les Marocains comptent en Russie pour marquer des buts contre l'Iran, l'Espagne et le Portugal, est un transfuge du Difaa Al Hassani Jadidi ( DHJ). Du club doukkali, il a été transféré à Al Ahly d'Egypte pour un contrat de quatre ans en contrepartie du montant « pharaonique » d'un milliard de centimes. » « Ikhtichi, ya wad, ya Mansour! Ya bta3 Zamalek! »