Voilà des propos qui vont encore faire parler au Cameroun. A l'issue de la visite d'inspection effectuée le mois dernier, les premières indiscrétions faisaient état de retours positifs de la part des inspecteurs au sujet du pays-hôte de la CAN 2019. Mais le président de la CAF, Ahmad, dont la cote de popularité est au plus bas au pays des Lions Indomptables, a envoyé le message contraire, mettant à nouveau la pression sur le Cameroun. "Il n'y a pas du tout de polémique sur CAN 2019. Il y a une mission d'inspection et le cabinet Roland Berger, en charge d'un audit infrastructurel et organisationnel de la CAN, qui a fait des inspections sur le terrain. Il existe une différence énorme entre les rapports d'inspection et les cahiers des charges. De ce fait, il a été demandé au Cameroun de rattraper ce retard", a lancé le Malgache en conférence de presse à Casablanca. "Des gens sont en train de mentir. Je suis un homme de parole, mon comité exécutif ne change pas d'un iota. Nous appliquons la réglementation avec toute sa vigueur. Le cahier des charges exige des infrastructures, des hôtels, des stades, des hôpitaux et beaucoup de choses". En juin 2019, le Cameroun doit accueillir la première CAN à 24 équipes et toutes les infrastructures supplémentaires que cela implique. Mais le président de la CAF, Ahmad, dont la cote de popularité est au plus bas au pays des Lions Indomptables, a envoyé le message contraire, mettant à nouveau la pression sur le Cameroun. "Il n'y a pas du tout de polémique sur CAN 2019. Il y a une mission d'inspection et le cabinet Roland Berger, en charge d'un audit infrastructurel et organisationnel de la CAN, qui a fait des inspections sur le terrain. Il existe une différence énorme entre les rapports d'inspection et les cahiers des charges. De ce fait, il a été demandé au Cameroun de rattraper ce retard", a lancé le Malgache en conférence de presse à Casablanca. "Des gens sont en train de mentir. Je suis un homme de parole, mon comité exécutif ne change pas d'un iota. Nous appliquons la réglementation avec toute sa vigueur. Le cahier des charges exige des infrastructures, des hôtels, des stades, des hôpitaux et beaucoup de choses". En juin 2019, le Cameroun doit accueillir la première CAN à 24 équipes et toutes les infrastructures supplémentaires que cela implique.