Après le financement, le temps est à l'évaluation. Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) s'apprête en effet à évaluer le premier pilier du programme de «gestion sécurisé et d'élimination des PCB»(polychlorobiphényles) pour lequel le Maroc avait sollicité l'assistance du Fonds de l'environnement mondial. Il s'agit pour rappel d'un programme qui entre dans le cadre de la convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants que le Maroc a signé. Concrètement, le PNUD veut s'enquérir des progrès réalisés et identifier les éventuelles corrections à apporter.