Les cliniques privées ont mauvaise presse. Le président de cette corporation se livre au jeu des Q/R pour apporter son point de vue au sujet de la menace sur l'AMO, la fiscalité et l'arrivée des investisseurs institutionnels dans les capitaux des structures de soins privées. Réponses sans détour... Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper