Le Wali de BAM le confirme. Nos indicateurs tournent autour des limites acceptables. Cette situation prive l'Exécutif de la possibilité d'arbitrages économique et budgétaire. Souffrant de l'absence de réforme en période de prospérité, l'actuel gouvernement et sa version 2.0 n'auront d'autre choix que de suivre la feuille de route du FMI. Faute de rigueur, il faudra faire face à une austérité forcée. «Le Maroc a passé les années de crise la tête haute sur tous les plans de stabilité, économique, sociale et surtout politique. Il serait vraiment dommage d'entrer dans une dynamique de difficultés, alors que le monde entrevoit la reprise», déclare Abdellatif Jouahri. Plus de détails dans votre numéro des ECO en kiosques aujourd'hui.