Le 2 juin courant, le 7ème arrondissement de police de Mers Sultan El Fida recevait, en état d'arrestation, un certain Abderrahim El Ouarrari, né en 1973, demeurant à Hay Hassani (Berrechid). Abderrahime a été surpris par des passants en pleine action de viol d'une mineure dans un terrain vague derrière Marjane de la route de Médiouna. Les grands taxis arrivent de Berrechid avec à bord six passagers. L'un de ces taxis transportait, entre autres, ce jour-là, le 2 juin, un jeune homme et une jeune fille mineure. A hauteur du boulevard El Harti, la jeune fille demande au chauffeur du taxi de s'arrêter et elle descend. Elle marchait à pied, se dirigeant vers le domicile de sa grand-mère au quartier Moulay Rachid. En cours de route, le jeune homme qui a fait le trajet avec elle de Berrechid s'est approché pour lui proposer de l'accompagner en petit taxi. La scène n'a pas duré longtemps et la jeune fille, mise en confiance, a fini par accepter, sauf que Abderrahim ne va pas la conduire à quartier Moulay Rachid mais au quartier Koréa, au milieu des tas de bois amassés un peu partout. Là, il la prend de force et la viole. Il la sodomise aussi. Abderrahim était ivre. Aicha n'avait aucune force, plus de force, même pas pour crier et demander secours. Mais les regards des curieux rendent parfois service. Des passants ont vu la scène et ont accouru vers Abderrahim qui était hors de lui. Une fois maîtrisé, il a été confié à l'agent de la circulation qui était posté au rond-point ; lequel agent a contacté la salle de trafic qui a envoyé une voiture de Police Secours. Abderrahime a été conduit au 7ème arrondissement puis devant la brigade de la police judiciaire. Il comparait actuellement devant le juge d'instruction pour viol de mineure, séquestration… Surtout que son casier judiciaire n'est pas vierge. Un caniche dans une gamelle Il y a deux semaines, la propriétaire d'une maison à El Oulfa a constaté la disparition subite de son caniche. Tout beau, tout mignon, le chien n'a plus donné signe de vie et la bonne femme n'avait plus qu'à panser ses maux. Mais voilà que des curieux (heureusement qu'ils servent à quelque chose) ont retrouvé la peau du caniche dans la poubelle commune. Ils ont fait le lien avec de nouveaux locataires. Il s'agissait de Subsahariens qui ont bel et bien garni leur gamelle avec la chair tendre du chiot.