Il y a quelques jours, plus précisément le vendredi 24 mars, s'achevait le délai pour le dépôt des candidatures aux commandes de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM). La seule candidature annoncée est celle du binôme sortant, Chakib Alj, président de la CGEM, et son vice-président, Mehdi Tazi. Comme ce fut le cas en 2020, ils se représenteront donc comme candidats uniques et seront donc assurés de rempiler pour un second mandat. «Améliorer le quotidien des chefs d'entreprise et leur relation avec l'Administration, rendre les facteurs de production et la R&D plus accessibles, accélérer la dynamique de l'investissement dans les secteurs stratégiques & créateurs d'emplois...», avait annoncé Chakib Ali au moment de l'annonce de sa candidature. Il avait également donné un aperçu de son programme : «booster l'attractivité de nos régions, promouvoir la TPME et la startup, ou encore renforcer la participation féminine, seront parmi les sujets que nous mettrons au centre de notre action, dans la continuité de ce qui a été réalisé». CGEM, un nouveau programme «Nous veillerons à ce que ce mandat soit, entre autres, celui de la consolidation des acquis et de l'aboutissement des chantiers économiques en cours, de l'émergence d'un écosystème tech performant, ainsi que de la compétitivité du Maroc sur les chaînes de valeur mondiales», avait pour sa part affirmé Tazi. Le binôme, Chakib Alj et Mehdi Tazi, avait été élu à la tête de la Confédération pour un mandat de trois ans, renouvelable une fois, en janvier 2020. L'élection se tiendra le 16 mai 2023 lors de l'assemblée générale ordinaire élective (AGOE).