En dépit du quasi-achèvement des études topographiques et géotechniques puis de l'avancement tant des études d'avant-projet que de l'étude d'impact environnemental et social, le chantier du métro aérien de Casablanca, dont le coût est estimé à 8 milliards de DH, semble plutôt donner du fil à retordre en ce qui concerne son financement. Il était certes prévu que l'Etat y contribue mais, étant donné les restrictions budgétaires actuelles, il ne serait pas étonnant que la ville de Casablanca ne soit contrainte de vendre une partie de son patrimoine pour y remédier. Seul bémol, les gestionnaires au niveau du Conseil de la ville sont encore loin d'avoir l'expérience requise pour ce faire. A suivre.