Les travaux de construction des logements sociaux par le Groupe Yasmine Immobilier vont bon train. Ce groupe, connu pour ses réalisations dans le secteur résidentiel de haut standing, confirme la diversification de ses offres en investissant également dans ce genre de logement. Les travaux de construction des logements sociaux par le Groupe Yasmine Immobilier vont bon train. Ce groupe, connu pour ses réalisations dans le secteur résidentiel de haut standing, confirme la diversification de ses offres en investissant également dans ce genre de logement. Lancé sous le label «Kenzi», ce nouveau pôle couvre principalement la région Chaouia-Ouardigha et l'Oriental. En effet, Driss Berrada, directeur général de Yasmine Immobilier, a tenu à préciser d'abord que «ce premier projet de logement social réalisé dans la ville de Settat a été lancé en juin 2011 après la signature de deux conventions avec l'Etat et que la livraison de la 1ère tranche est prévue au premier semestre 2012». Occupant une superficie de 12.000 m2 de terrain, ce logement social de Settat offrira 550 appartements et 40 magasins. Quant au deuxième projet, lequel se situe dans la ville d'Oujda, il sera livré, selon M. Berrada, fin 2012 avec une construction cette fois légèrement inférieure à celle de Settat (500 logements). Même s'il s'agit de logements sociaux, étiquetés comme destinés aux personnes qui ont des difficultés à se loger, le directeur refuse que ce projet manque de qualité. «Nous avons voulu transposer le savoir-faire du haut standing au social», insiste M. Berrada. Le coût de l'investissement global de ce projet est d'environ 115 millions DH et le chiffre d'affaires qui devrait être généré par les ventes est estimé à 150 millions DH, selon le directeur du groupe. Par ailleurs, Yasmine Immobilier a dévoilé également sa nouvelle identité dans l'approche du groupe pour la qualité avec comme challenge la présentation de sa nouvelle signature «Orfèvre de l'Immobilier» qui réaffirme ses valeurs. Et s'agissant des prix de l'acquisition de ces logements, le directeur souligne que «sur notre programme social, nos projets se trouvent exclusivement dans la ville. Mais globalement, pour les villes comme Casablanca, il est normal d'aller vers des zones périphériques, tout simplement pour une question du prix de terrain». Et d'enchaîner: «N'oublions pas que la valeur maximale d'un logement social est de 250.000 DH. Où trouver sur Casablanca, par exemple, des terrains abordables avec des prix de terrain en dessous de 1.000 DH m2?» s'explique-t-il. D'autres projets sont en cours de lancement en 2012, notamment à Berkane avec 300 logements (en attente du plan d'aménagement) et Deroua avec 500 logements (en attente de dérogation). L'objectif étant de construire et d'atteindre à l'horizon 2020, 1.500.000 logements sociaux.