Son Altesse Royale la Princesse Lalla Meryem, Présidente de l'Observatoire national des droits de l'enfant, a reçu, jeudi à Rabat, le prix «Méditerranée pour l'Enfance» attribué par la Fondation Méditerranée pour la paix. Son Altesse Royale la Princesse Lalla Meryem, Présidente de l'Observatoire national des droits de l'enfant, a reçu, jeudi à Rabat, le prix «Méditerranée pour l'Enfance» attribué par la Fondation Méditerranée pour la paix, en signe de reconnaissance pour l'ensemble de l'œuvre de Son Altesse Royale et de ses actions en faveur de la protection des droits des enfants. Ce prix a été remis à Son Altesse Royale par le Pr Michele Capasso, Président Fondateur de la Fondation Méditerranée pour la Paix, accompagné de Pia Molinari, membre du Comité directeur de la fondation, responsable des jeunes, de la femme et de la créativité. «Par cette prestigieuse distinction, la Fondation entend également rendre un vibrant hommage à SM le Roi Mohammed VI pour son choix résolu pour conduire son peuple vers une société de Droit et de Justice, où les enfants pourront jouir de toutes les formes de protection», a souligné M. Capasso. L'attribution du «Prix Méditerranée pour l'enfance», remis pour la première fois à SAR La Princesse Lalla Meryem par la Fondation Méditerranée pour la Paix, et qui, de par sa valeur, vient juste après le Prix Nobel, traduit la haute estime dont jouit Son Altesse Royale au niveau international pour ses grandes œuvres en faveur des droits des enfants. Présidente de l'Observatoire national des droits de l'Enfant (ONDE) depuis sa création en 1995 par Feu SM Hassan II, du Parlement de l'enfant et de l'Association marocaine de soutien à l'Unicef, SAR La Princesse Lalla Meryem a toujours fait preuve d'un grand dynamisme pour la promotion des droits des enfants. Ses actions multisectorielles et son engagement inconditionnel en faveur des enfants et des femmes lui ont valu la reconnaissance de la communauté internationale. A cet égard, SAR La Princesse Lalla Meryem a été nommée Ambassadrice de bonne volonté de l'Unesco en juillet 2001.