Pour promouvoir l'économie verte, la BERD et le ministère de l'économie et des finances veulent avancer la main dans la main. Les deux parties vont collaborer selon les termes du mémorandum d'entente signé récemment pour proposer aux entreprises de nouvelles opportunités de financement de leurs investissements verts. «Cette coopération fait suite à l'engagement pris par le ministère pendant la COP22, organisée à Marrakech en novembre 2016, d'inciter les entreprises marocaines à s'adapter à l'économie verte – objectif résolument soutenu par la BERD», apprend-on auprès de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement. Plus concrètement, le ministère de l'économie et des finances du Maroc proposera par l'intermédiaire du fonds Tamwil, géré par la Caisse Centrale de Garantie (CCG), des financements aux micro, petites et moyennes entreprises (MPME), aux côtés d'institutions financières marocaines, réduisant ainsi le coût de leurs investissements verts. «Ce nouveau produit Tamwil s'appuiera sur la réussite du Morseff, une ligne de financement pour l'énergie durable de la BERD au Maroc qui, depuis son lancement en 2015, bénéficie d'une assistance technique et de paiements incitatifs de l'Union européenne. À ce jour, Morseff accorde au total 110 millions d'euros par l'intermédiaire de banques partenaires pour rétrocession aux entreprises, afin de développer l'économie verte dans le pays», précise la même source. Dans les détails, le mémorandum prévoit que le nouveau produit Tamwil suivra une approche similaire au Morseff, inclura une assistance technique à l'intention des MPME et sera complété par un financement de la BERD. En marge de la cérémonie de signature, Mohamed Boussaid ministre de l'économie et des finances a déclaré que «le mémorandum que nous avons signé aujourd'hui avec la BERD s'insère dans le cadre des engagements que nous avons pris en faveur du climat lors de la COP22. Il concrétise une nouvelle approche de coopération avec les bailleurs de fonds qui devra soutenir la mobilisation de nouvelles ressources privées et leur orientation au profit des projets des PME et TPE d'économie verte». De son côté, Pierre Heilbronn, vice-président de la BERD chargé des politiques et partenariats, a déclaré : «Ce mémorandum est un excellent exemple de la façon dont la BERD collabore avec ses partenaires pour créer un marché propice aux investissements verts et garantir une incidence à long terme sur l'économie marocaine. Je suis ravi de renforcer encore notre coopération avec les autorités marocaines à travers ce protocole d'accord avec le ministère de l'économie et des finances. C'est un vrai hommage à notre travail dans le secteur que de pouvoir désormais coopérer au financement vert dans l'intérêt des entreprises et de la population marocaine». Marie-Alexandra Veilleux-Laborie, directrice de la BERD au Maroc, a ajouté : «Nous sommes très heureux de travailler avec le Maroc pour stimuler les investissements verts et soutenir davantage les petites entreprises. Le Maroc dispose d'un grand potentiel et d'un secteur de PME dynamique que nous serons ravis de continuer à soutenir». Pour promouvoir l'économie verte, la BERD et le ministère de l'économie et des finances veulent avancer la main dans la main. Les deux parties vont collaborer selon les termes du mémorandum d'entente signé récemment pour proposer aux entreprises de nouvelles opportunités de financement de leurs investissements verts. «Cette coopération fait suite à l'engagement pris par le ministère pendant la COP22, organisée à Marrakech en novembre 2016, d'inciter les entreprises marocaines à s'adapter à l'économie verte – objectif résolument soutenu par la BERD», apprend-on auprès de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement. Plus concrètement, le ministère de l'économie et des finances du Maroc proposera par l'intermédiaire du fonds Tamwil, géré par la Caisse Centrale de Garantie (CCG), des financements aux micro, petites et moyennes entreprises (MPME), aux côtés d'institutions financières marocaines, réduisant ainsi le coût de leurs investissements verts. «Ce nouveau produit Tamwil s'appuiera sur la réussite du Morseff, une ligne de financement pour l'énergie durable de la BERD au Maroc qui, depuis son lancement en 2015, bénéficie d'une assistance technique et de paiements incitatifs de l'Union européenne. À ce jour, Morseff accorde au total 110 millions d'euros par l'intermédiaire de banques partenaires pour rétrocession aux entreprises, afin de développer l'économie verte dans le pays», précise la même source. Dans les détails, le mémorandum prévoit que le nouveau produit Tamwil suivra une approche similaire au Morseff, inclura une assistance technique à l'intention des MPME et sera complété par un financement de la BERD. En marge de la cérémonie de signature, Mohamed Boussaid ministre de l'économie et des finances a déclaré que «le mémorandum que nous avons signé aujourd'hui avec la BERD s'insère dans le cadre des engagements que nous avons pris en faveur du climat lors de la COP22. Il concrétise une nouvelle approche de coopération avec les bailleurs de fonds qui devra soutenir la mobilisation de nouvelles ressources privées et leur orientation au profit des projets des PME et TPE d'économie verte». De son côté, Pierre Heilbronn, vice-président de la BERD chargé des politiques et partenariats, a déclaré : «Ce mémorandum est un excellent exemple de la façon dont la BERD collabore avec ses partenaires pour créer un marché propice aux investissements verts et garantir une incidence à long terme sur l'économie marocaine. Je suis ravi de renforcer encore notre coopération avec les autorités marocaines à travers ce protocole d'accord avec le ministère de l'économie et des finances. C'est un vrai hommage à notre travail dans le secteur que de pouvoir désormais coopérer au financement vert dans l'intérêt des entreprises et de la population marocaine». Marie-Alexandra Veilleux-Laborie, directrice de la BERD au Maroc, a ajouté : «Nous sommes très heureux de travailler avec le Maroc pour stimuler les investissements verts et soutenir davantage les petites entreprises. Le Maroc dispose d'un grand potentiel et d'un secteur de PME dynamique que nous serons ravis de continuer à soutenir».