Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, ne s'est pas « adressé à la Nation depuis plus d'un an » et personne en dehors de son cercle le plus étroit ne sait s'il parle encore », écrit le +New York Times + dans un article sous le titre « Politiquement à la dérive, Alger s'accroche à ses vieux démons ».