La 21ème édition de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP21), à laquelle nous avons été conviés par Renault et qui se tient à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015, a été révélatrice à plus d'un titre. Déjà parce qu'elle sert de prélude à l'organisation de la COP22, qui aura lieu l'année prochaine chez nous à Marrakech. Ensuite, parce que l'Alliance Renault-Nissan est le partenaire officiel de la COP21, mais pas n'importe lequel. L'alliance entre ces deux marques française et nippone a permis de réaliser des prouesses technologiques dans le tout électrique, qui font avancer à pas de géants une niche qui en est encore à ses premiers balbutiements certes, mais qui se développe tous les ans à hauteur de 50%. «Nous nous engageons auprès du comité d'organisation de la COP21 en apportant une offre de mobilité électrique qui constitue l'une des solutions indispensables à la lutte contre le réchauffement climatique dans le domaine des transports», ne manque pas de souligner Claire Martin, Alliance COP21 Leader, directeur de la responsabilité sociale de l'entreprise, Groupe Renault. Concrètement, si Nissan a joué sa carte Leaf, Renault a permis de mettre en exergue une offre très mûre dans le tout électrique, à travers son modèle Zoe. La berline compacte 100% électrique est un véhicule tonique, maniable et amusant à conduire. Le véhicule est pourvu d'un châssis adapté aux spécificités électriques et au travail effectué sur la mise au point de la direction, des pneus et des amortisseurs. Le moteur électrique délivre, en une fraction de seconde, un couple maximum de 220 Nm autorisant des accélérations et des reprises franches dès les bas régimes. L'accélération de 0 à 50 km/h (plage fréquente en usage urbain) est de 4 secondes. L'accélération est fluide, linéaire, et sans à-coups. «Au total, les véhicules électriques Renault en circulation ont d'ores et déjà permis d'éviter l'émission d'environ 115.000 tonnes de CO2 dans l'atmosphère, et l'extraction de plus de 1,15 million de barils de pétrole brut», indique Jean-Philippe Hermine, directeur du Plan environnement du Groupe Renault.