Le profil de carrière essentiellement nourri à l'aune de la magistrature d'élite de Driss Dahak, atteste formellement de ses capacités à assumer les missions régaliennes les plus difficiles dans le Royaume. Les plus récentes charges occupées en attestent au moment où lui furent confiées les rênes du CCDH mû en une instance décisive dans la réconciliation nationale et la réparation morale et matérielle des victimes des abus et dépassements des années de plomb. Dans la foulée, Driss Dahak s'acquitta de ses hautes charges en sa qualité de premier président de la Cour Suprême dont il fit un acteur incontournable de progrès dans la modernisation du paysage judiciaire et le moteur du chantier de la réforme de la Justice. Avant d'être nommé aux commandes du Secrétariat général du gouvernement, ministère de Souveraineté dont la sensibilité et l'omniprésence sont devenues un secret de polichinelle pour tous les Marocains.