En quelques jours à peine, deux nouveaux Etats, jusque-là défavorables à l'initiative marocaine, ont fini par rejoindre le camp des partisans de l'autonomie du Sahara marocain. Il s'agit de la Norvège, un revirement remarquable et du Chili, qui, par la voix de son président du Sénat, Eduardo Frei Ruiz-Tagle, a affirmé que l'Initiative marocaine d'autonomie dans les provinces du Sud «est très objective pour la résolution de la question du Sahara». Plutôt de bon augure avant le 3ème round des négociations directes en Europe fin décembre 2007 ou début janvier 2008.